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« Celui qui te parle, répondit Jésus,
est Celui que tu as crucifié, Celui qui ta ressuscitée
de la mort du péché, Celui qui tappelle aux amertumes
de la pénitence, par lesquelles lâme se purifie de
toute souillure.
Moi, ton Rédempteur, que tu aimes et que tu recherches en tout,
je te dis que tu es ma fille bien-aimée, que je veux tenrichir
des dons les plus précieux de ma grâce à ce point
que nulle femme de ton temps nen a encore reçu de si grands
Aime-moi donc, puisque je taime.
Publie mes louanges et je te louerai et te ferai louer dans le monde entier
Toutes les grâces que tu as reçues jusquà ce
jour ne sont rien en comparaison de celles que je te réserve, car
lil ne saurait voir, le cur noserait penser ni
croire aux grâces sublimes que je me dispose à taccorder
Ma fille, mon Père taime, ma Mère et tous les saints
aussi
Tu es ma fille, parce que tu mobéis.
Tu es mon épouse, parce que je suis ton seul amour; tu es ma Mère
parce que tu accomplis dans la mesure de tes forces les volontés
de mon Père et jajoute que sur la terre il ny en a
pas que jaime plus que toi.
Cependant que ces paroles ne te remplissent pas de présomption,
car ces consolations tu ne les a pas encore achetées ; un temps
viendra où tes souffrances tapprendront le prix que ma
coûté ton salut. »
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« Seigneur Jésus,
pourrai-je supporter ces peines ? »
« Jen ai
souffert de plus grandes pour toi, ma fille », répondit Jésus.
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